mardi 8 juillet 2014


C’est comment quand on passe de l’autre côté ? 
Il y a une ligne sur laquelle j’aimerais me tenir. 
Et cette année est la création d’un geste, celui d’embrasser. 
Une espèce de début d’interprétation globale, d’embrassement global. De ma vie. Avec son début et sa fin. Pour la première fois.
J’embrasse ma vie avec sa part d’inconnu certes mais une, une avec peut-être, ces prochains mois, un autre geste de réajustement. Je pense qu’on peut faire ce geste jusqu’à la fin. 
Il n’y a pas de limites aux gestes si ce n’est la mort.