C’est comment quand
on passe de l’autre côté ?
Il y a une ligne sur laquelle j’aimerais me
tenir.
Et cette année est la création d’un geste, celui d’embrasser.
Une espèce
de début d’interprétation globale, d’embrassement global. De ma vie. Avec son début et sa fin. Pour la première fois.
J’embrasse ma vie avec sa part d’inconnu certes mais une, une avec peut-être, ces
prochains mois, un autre geste de réajustement. Je pense qu’on peut faire ce
geste jusqu’à la fin.
Il n’y a pas de limites aux gestes si ce n’est la mort.